La faim et le manque de biens et services essentiels étaient généralisés. L’impunité persistait pour les violences commises par les gangs, y compris les violences sexuelles, les enlèvements et les homicides. Les juges, les procureur·e·s, les journalistes et les défenseur·e·s des droits humains risquaient d’être pris pour cible. Des centaines de milliers de personnes étaient toujours déplacées à l’intérieur du pays ou avaient fui à l’étranger tandis que, cette année encore, les États-Unis et la République dominicaine n’ont offert aux Haïtien·ne·s qu’un accès limité à la protection internationale et ont expulsé des milliers d’entre eux.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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