La police a tiré sur des manifestant·e·s durant la période préélectorale, tuant quatre personnes, dont un adolescent ; plus de 150 manifestant·e·s ont été arrêtés, et des journalistes qui couvraient les manifestations ont été frappés. Une loi d’amnistie adoptée en mars a mis fin aux poursuites engagées pour la mort, entre mars 2021 et février 2024, de 65 manifestant·e·s et passant·e·s. Le Code de la famille contenait toujours des dispositions violant les droits des femmes et des filles. Les autorités n’ont pas fait le nécessaire pour protéger les droits des enfants talibés. Au moins 959 personnes migrantes parties en bateau depuis les côtes sénégalaises ont péri en mer pendant les cinq premiers mois de l’année. Le gouvernement a suspendu toutes les opérations minières le long de la rivière Falémé en raison de dégradations de l’environnement.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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