La procureure générale a abandonné les charges retenues à l’encontre de l’ex-Premier ministre et de son épouse pour meurtre. Des manifestations ont été interdites, toutes les autorisations de rassemblement ayant été refusées jusqu’en août en vertu de la réglementation liée à la pandémie de COVID-19. Les violences policières restaient une source de préoccupation grave ; des cas de torture et d’autres mauvais traitements ont notamment été signalés, ainsi qu’un homicide illégal. Les violences liées au genre ont continué d’augmenter et les femmes étaient marginalisées dans les domaines économique et politique. L’accès aux services de santé était limité, en particulier pour les femmes et les filles vivant en zone rurale.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi
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