Amnesty International demande une nouvelle fois aux autorités iraniennes de mettre fin aux châtiments cruels, inhumains et dégradants tels que les peines de flagellation, en réaction à la recrudescence de ces condamnations dans le pays. L’organisation craint que ces peines ne visent à dissuader de nouvelles critiques envers les autorités, en particulier à l’approche des élections législatives prévues pour mars 2012.