États-Unis.: Guantánamo est un symptôme du deux poids deux mesures en matière de droits humains

Le 1er janvier 2017, les États-Unis ont pris leur siège pour trois ans au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, après leur élection fin 2016 par l’Assemblée générale au sein de cet organe clé pour la défense des droits fondamentaux. Dans le cadre de leur « campagne » en prévision de cette élection, les États-Unis ont promis de défendre les droits inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme, d’honorer les obligations qui sont les leurs en vertu des traités relatifs à ces droits, et de collaborer de manière significative avec les organes de suivi de la mise en œuvre des traités.

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