En Afrique du Sud, les femmes, et surtout les femmes noires, sont touchées de façon disproportionnée par la pauvreté, le chômage et la pandémie de VIH/sida. Lorsque le coût du transport empêche les femmes qui vivent à la campagne et dans la pauvreté d’avoir accès aux services de santé, leur droit au meilleur état de santé possible est violé. Les autorités – aux niveaux national, provincial et municipal – doivent maintenant mettre en œuvre des plans donnant priorité aux besoins des femmes des zones rurales qui vivent avec le VIH/sida.