On ne sait toujours pas ce qui est advenu de militants des droits humains, d’avocats et de journalistes – parmi lesquels se trouvaient des Égyptiens et des étrangers – arrêtés lors d’un raid visant le Centre Hisham Moubarak pour le droit, dans l’après-midi du 3 février 2011 au Caire. Amnesty International craint que toutes les personnes appréhendées ne risquent d’être torturées ou soumises à d’autres formes de mauvais traitements.