Gambie. La Loi principale soulève de graves préoccupations en matière de droits humains

La loi de 2013 portant modification du Code pénal, également appelée « Loi principale », a été adoptée à l’unanimité par l’Assemblée générale gambienne mardi 16 avril. Amnesty International craint que le gouvernement n’utilise ce texte pour restreindre les droits humains fondamentaux, allant ainsi à l’encontre des obligations régionales et internationales qui lui incombent en la matière. Les articles 114 et 167 pourraient en particulier servir à limiter les droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion. De plus, l’article 167 bafoue le droit à la non-discrimination.

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