Sakineh Mohammadi Ashtiani, qui risque d’être exécutée par lapidation, son fils, Sajjad Qaderzadeh, son avocat, Javid Houtan Kiyan, et deux journalistes allemands actuellement détenus en Iran ont, semble-t-il, fait des déclarations dans lesquelles ils s’accusaient eux-mêmes à la télévision d’État le 15 novembre. Ces déclarations, probablement obtenues sous la contrainte, ne doivent pas être acceptées comme preuves par un tribunal.