Japon. Pendus à un fil. Santé mentale et peine capitale au Japon

Le Japon est l’un des deux seuls pays industrialisés à maintenir la peine de mort en droit et en pratique. L’application de ce châtiment est entourée du plus grand secret ; les prisonniers ne sont prévenus de leur exécution que quelques instants avant, et leurs proches n’en sont informés que lorsqu’elle a déjà eu lieu. Il est également arrivé que l’on exécute des prisonniers atteints de maladies mentales graves. Dans ce document, Amnesty International invite les autorités japonaises à mettre en place des garanties efficaces pour les condamnés à mort et à faire en sorte que les détenus souffrant de maladie mentale ne soient pas exécutés.

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