Kenya. La nouvelle Constitution doit garantir les droits de tous

Amnesty International appelle le Parlement kenyan à faire en sorte que le projet de constitution actuellement à l’étude impose le respect, la protection et la réalisation de l’ensemble des droits humains. Ce projet de constitution doit inclure les droits économiques et sociaux en leur conférant force de loi. Par ailleurs, l’organisation exhorte le Parlement à supprimer la disposition stipulant que le droit à la vie commence dès la conception et, si l’article relatif à l’accès à l’avortement est maintenu, à prendre les mesures nécessaires afin que les victimes de viol puissent avoir recours à une interruption de grossesse. Le projet de constitution doit comporter des dispositions relatives à l’abolition de la peine de mort. Il doit également prévoir le renforcement des dispositions visant à garantir l’égalité.

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