Les autorités ont condamné au moins six personnes, dont des militant·e·s, des journalistes et un avocat, pour l’exercice pacifique de leur droit à la liberté d’expression. Elles ont aussi épisodiquement réprimé la dissidence au Sahara occidental. Des personnes considérées comme critiques à leur égard ont été torturées ou maltraitées. La législation nationale consacrait toujours des inégalités de genre et érigeait en infractions les relations consenties entre adultes de même sexe et l’avortement. Personne n’a eu à rendre de comptes pour la mort d’au moins 37 migrant·e·s et la disparition de 76 autres alors qu’ils tentaient de franchir la frontière entre le Maroc et l’enclave espagnole de Melilla le 24 juin 2022.
Lire la suiteLa législation prévoit la peine de mort, mais aucune exécution n’a eu lieu depuis 10 ans
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