Les autorités ont continué de durcir leur contrôle du droit à la liberté d’expression et des médias. Des militant·e·s, des blogueurs et blogueuses et des journalistes indépendants ont fait l’objet de poursuites motivées par des considérations politiques pour avoir fait état d’allégations de corruption et d’atteintes aux droits humains, notamment de violations du droit au logement et des droits du travail. La torture et les mauvais traitements restaient des pratiques courantes et généralisées, et les responsables présumés de ces actes criminels bénéficiaient le plus souvent de l’impunité. Les personnes LGBTI étaient en butte à des manœuvres d’intimidation, des agressions physiques, de la diffamation sur les réseaux sociaux et des détentions arbitraires sur la base de fausses accusations. De nombreuses victimes d’expulsions forcées et d’expropriations n’avaient pas accès à des recours juridiques effectifs.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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