Une commission présidentielle a recommandé des modifications de la Constitution qui amélioreraient la protection de certains droits mais en affaibliraient d’autres. Des personnes migrantes ou demandeuses d’asile, y compris mineures, ont été placées en détention arbitraire. Une grande partie des homicides commis entre janvier et mars sont survenus à la suite de violences fondées sur le genre. Une augmentation du nombre de personnes disparues a été enregistrée. Les droits des peuples autochtones ont été bafoués. La peine de mort était toujours appliquée dans le pays.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi
Rapports, briefings, déclarations, communications et autres ressources produites par les chercheurs d’Amnesty.