La législation relative à l’état d’urgence qui avait été adoptée pour faire face à la pandémie de COVID-19 a été prorogée à deux reprises, ce qui a restreint les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique. Les femmes et les filles ont subi un nombre croissant de violences liées au genre. Le droit d’asile a été restreint. Des licences d’exploration pétrolière ont mis en péril l’environnement et les moyens d’existence des populations autochtones. La peine de mort par pendaison restait en vigueur pour certains crimes, dont le meurtre.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi