Tanzanie

Amnesty International ne prend pas position sur les questions de souveraineté ou les conflits territoriaux. Les frontières apparaissant sur cette carte sont basées sur les données géospatiales des Nations unies.
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Vue d'ensemble

Quatre détracteurs du gouvernement ont été soumis à une disparition forcée et un autre a été tué. La police a empêché des membres de l’opposition de tenir des rassemblements et d’autres réunions politiques en procédant à des arrestations massives et des placements arbitraires en détention et en faisant usage d’une force illégale. Des journalistes et d’autres personnes ont vu leur droit à la liberté d’expression bafoué. Le gouvernement a continué de violer les droits du peuple autochtone masaï, notamment en le soumettant à des expulsions forcées. La justice a suspendu un projet qui aurait privé les Masaïs de leurs droits à la participation et à la représentation politique. Les autorités ont manqué à leur obligation de protéger les personnes LGBTI contre les violences. Le lancement du deuxième Plan national d’action pour mettre un terme à la violence contre les femmes et les enfants a offert une occasion de renforcer la protection de ces catégories de population. Le projet de construction de l’oléoduc d’Afrique de l’Est (EACOP) compromettait les engagements de la Tanzanie en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre.

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État de la peine de mort

Abolitionniste en pratique

La législation prévoit la peine de mort, mais aucune exécution n’a eu lieu depuis 10 ans

Voir le rapport d’Amnesty International 2024/25

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