Les forces de sécurité ont continué de recourir à une force excessive contre des manifestant·e·s, tuant des dizaines de personnes et en blessant des milliers d’autres. Des manifestant·e·s, y compris des femmes et des enfants, ont été détenus illégalement et maltraités ; certains ont été soumis à une disparition forcée. Des centaines de civil·e·s ont été tués ou blessés par des milices dans la région du Darfour occidental. Le procès d’Ali Mohammed Ali pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis au Darfour occidental s’est ouvert devant la CPI. La liberté d’expression était sévèrement restreinte et l’accès à Internet a été coupé avant de grandes manifestations. Des manifestantes ont été harcelées et agressées sexuellement. Un très grand nombre de personnes souffraient cruellement de la faim, en raison de l’insécurité alimentaire. Des réfugié·e·s venant d’Éthiopie, d’Érythrée et du Soudan du Sud ont continué d’arriver dans le pays ; en raison de la baisse des financements, leurs rations alimentaires ont été réduites.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi
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