Des éléments attestaient d’actes de torture et d’autres mauvais traitements commis en détention mais, peu d’affaires ayant fait l’objet de poursuites, les responsables étaient rarement amenés à rendre des comptes. Des cas de disparition forcée ont été signalés. De nouvelles restrictions ont été imposées aux ONG. Les actions judiciaires engagées contre des membres de l’opposition pour leur participation à une formation à l’action non violente se sont poursuivies. Le cadre juridique applicable aux personnes réfugiées a été actualisé. Des personnes soupçonnées d’avoir participé au génocide ont été jugées au Rwanda et à l’étranger. Un comité de l’ONU a formulé des recommandations en vue de lutter contre les inégalités auxquelles étaient confrontées les femmes appartenant à des groupes défavorisés.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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