Le pays a continué à avoir recours au service militaire obligatoire à durée indéterminée, qui s’apparentait parfois à du travail forcé et à de l’esclavage. Les personnes réfugiées renvoyées dans le pays risquaient de subir des atteintes à leurs droits humains. Le droit à l’éducation était bafoué. Le droit à la liberté d’expression a été réprimé et le sort de plusieurs personnes qui avaient critiqué le gouvernement et été soumises à une disparition forcée en 2001 restait inconnu. À la fin de l’année, le gouvernement n’avait pas mis en œuvre les recommandations de la Commission d’enquête de l’ONU qui l’invitaient à enquêter sur les crimes de droit international. Il a en outre refusé l’entrée sur le territoire au rapporteur spécial sur la situation des droits de l’homme en Érythrée.
Lire la suiteLa législation prévoit la peine de mort, mais aucune exécution n’a eu lieu depuis 10 ans
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