Vue d'ensemble
Des milliers de personnes ont continué de fuir l’Érythrée tandis que les autorités restreignaient sévèrement le droit des citoyens de quitter le territoire. Le service national obligatoire d’une durée indéterminée était toujours en place. Les droits à la liberté d’expression et de religion demeuraient soumis à des restrictions. La détention arbitraire sans inculpation ni jugement restait la norme pour plusieurs milliers de prisonniers d’opinion. Des milliers de personnes étaient privées de leur droit à un niveau de vie suffisant.
Peine de mort :
Abolitionniste en pratique
La peine de mort est inscrite dans la législation du pays ou territoire, mais les autorités n’ont procédé à aucune exécution depuis au moins 10 ans.
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Catherine Mgendi
Attaché de presse Afrique de l’Est, +254 (0) 20 428 30 20 catherine.mgendi@amnesty.org
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