Vue d'ensemble
Cette année encore, de graves atteintes aux droits humains ont eu lieu, notamment des agressions motivées par des considérations politiques contre des opposant·e·s à l’approche des élections de 2020. Les droits à la liberté d’expression et d’association étaient fortement restreints. Les professionnel·le·s des médias, les personnalités politiques de l’opposition et les défenseur·e·s des droits humains étaient particulièrement visés. Les principaux auteurs présumés des atteintes aux droits humains étaient des membres des Imbonerakure (la branche jeunesse du parti au pouvoir), ainsi que le Service national de renseignement (SNR) et la police. Des mesures discriminatoires étaient imposées aux femmes et aux filles, qui étaient également victimes de violences sexuelles imputables essentiellement à des agents de l’État. La situation humanitaire demeurait catastrophique et des millions de personnes, confrontées à l’insécurité alimentaire, avaient besoin d’une aide humanitaire.
Peine de mort :
Abolitionniste pour tous les crimes
Le pays ou territoire n’a pas recours à la peine de mort.
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Catherine Mgendi
Attaché de presse Afrique de l’Est,+254 (0) 20 428 30 20 catherine.mgendi@amnesty.org
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UNE ANNÉE DE TROP : DES JOURNALISTES DÉTENU·E·S ARBITRAIREMENT AU BURUNDI
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