Amnesty International rejette les fausses accusations formulées par le ministère géorgien des Affaires intérieures le 30 mars , selon lesquelles l’organisation aurait publié des informations inexactes au sujet des exportations d’équipements de police et de sécurité par des États membres de l’Union européenne (UE) à destination de la Géorgie dans son rapport intitulé From Words to Deeds: Making the EU Ban on the trade in ‘tools of torture’ a reality (index AI : EUR 01/004/2010).