Les autorités n’ont pas remédié aux problèmes qui leur ont été signalés concernant la torture et les autres formes de mauvais traitements, notamment contre les détenu·e·s et les minorités. Les enfants roms n’avaient pas accès à l’éducation au même titre que le reste de la population. Le gouvernement n’a pas fait le nécessaire pour combattre les préjugés et les discours haineux à l’encontre des Roms et des personnes LGBTI. Les réfugié·e·s et les migrant·e·s, originaires principalement du Moyen-Orient et d’Asie, restaient exposés à des atteintes aux droits humains et à des violences aux frontières du pays.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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