Les autorités ont continué de réprimer toutes les formes de dissidence : des militant·e·s, des personnes critiquant le gouvernement et des journalistes indépendants, y compris en exil, ont cette année encore fait l’objet de manœuvres d’intimidation et de poursuites à caractère politique. Les droits à la liberté d’association et de réunion pacifique ont été réprimés. La discrimination contre les femmes et la minorité pamirie persistait, et la violence domestique demeurait généralisée. La torture et les autres formes de mauvais traitements restaient monnaie courante. La majorité des enfants étaient touchés par la pauvreté alimentaire. Les châtiments corporels sur les enfants ont été expressément interdits. La circulation routière, la combustion de charbon et les travaux de construction provoquaient une forte pollution atmosphérique.
Lire la suiteLa législation prévoit la peine de mort, mais aucune exécution n’a eu lieu depuis 10 ans
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