L’absence de transparence rendait difficile toute évaluation indépendante de la situation en matière de droits humains. Des modifications du Code pénal de la charia, échelonnées dans le temps et non encore appliquées, prévoyaient l’imposition, pour une série d’infractions, de la peine de mort et de châtiments corporels constituant des actes de torture et d’autres mauvais traitements, comme la bastonnade et la lapidation. Si elles étaient appliquées, ces modifications limiteraient par ailleurs davantage encore les droits à la liberté de pensée, de conscience et de religion, et renforceraient la discrimination à l’égard des femmes.
Maintient la peine de mort dans la loi, mais n’a pas exécuté depuis au moins 10 ans
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