Les forces militaires et des groupes armés ont cette année encore commis des atteintes aux droits humains, dont des crimes de guerre, à l’encontre de personnes civiles. Les services de renseignement étaient soupçonnés d’avoir soumis de hauts responsables à des disparitions forcées. L’enquête sur l’usage de la force meurtrière pendant les manifestations de 2020 a un peu progressé, mais les avancées étaient limitées s’agissant de rendre justice pour les violations perpétrées par des militaires. L’État ne protégeait pas la population contre la discrimination fondée sur le statut social. Le déploiement de la vaccination anti-COVID-19 a été lent.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi, mais n’a pas exécuté depuis au moins 10 ans
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