Les familles des victimes des homicides illégaux que les forces de sécurité auraient perpétrés pendant les manifestations d’octobre 2022 attendaient toujours que justice soit rendue. Les droits à la liberté d’expression, d’association et de réunion pacifique étaient toujours restreints. Des affrontements dans le sud du pays ont causé la mort de plus de cent villageois·es. Le droit à la sécurité alimentaire était menacé par la hausse des prix, le manque de précipitations, l’arrivée massive de personnes réfugiées du Soudan et l’insuffisance de l’aide humanitaire. Les mariages précoces et les violences fondées sur le genre étaient encore courants.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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