Cette année encore, les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique ont été restreints, les autorités ayant interdit plusieurs manifestations sous prétexte de maintenir l’ordre public. Un journaliste a été tué et d’autres ont été menacés. Aucune enquête n’a été ouverte sur la mort d’un dirigeant de l’opposition lors d’une opération lancée par les forces de sécurité au siège de son parti ; 25 de ses proches ont ensuite été détenus, sans pouvoir contacter un·e avocat·e. Les conditions de détention n’étaient toujours pas conformes aux normes internationales relatives aux droits humains. Les violences fondées sur le genre demeuraient courantes.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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