Vue d'ensemble
Entre février et avril, les autorités ont brutalement réprimé des manifestations non violentes. Le gouvernement refusait toujours de reconnaître le mandat du rapporteur spécial des Nations unies sur la situation des droits de l’homme au Bélarus. Plusieurs personnes en quête de protection internationale ont été renvoyées dans des pays où elles risquaient d’être torturées ou autrement maltraitées. Les médias, les ONG, les partis politiques et les rassemblements publics restaient soumis à des restrictions draconiennes imposées dans la loi. Une personne a été exécutée et quatre autres ont été condamnées à mort.
Peine de mort :
Non abolitionniste
La peine de mort est inscrite dans la législation du pays ou territoire.
Nouvelles
Questions des médias
Aleksander Artemev
Responsable médias pour la Russie et l’Eurasie, +7 495 6901852 alexander.artemyev@amnesty.org
Nos bureaux
Secrétariat international et bureaux régionaux
Voir tous les contactsRecherches
Articles de fond, billets d'opinion, témoignages, et bien plus encore
Points de vue
Articles de fond, billets d'opinion, témoignages, et bien plus encore
Bélarus
Bélarus. Le recul de la peur
Les droits humains en Europe de l’Est et en Asie centrale. Rétrospective 2019
Bélarus
Bélarus. Les militants craignent la surveillance
Bélarus
Exécutions au Bélarus