Au moins 155 personnes emprisonnées sous le coup de sentences capitales risquent d’être incessamment exécutées, dans la mesure où elles ont épuisé leurs voies de recours. Amnesty International craint en outre qu’elles n’aient été condamnées au terme de procès iniques.

Le soldat qui avait emmené Diomède Buyoya dans les locaux de la Brigade spéciale de recherche (BSR), où ce dernier est mort en détention, a été arrêté et accusé de meurtre.

Amnesty International est préoccupée par la sécurité de nombreuses personnes, qui sont détenues dans les locaux de la Brigade spéciale de recherche (BSR), dans la capitale, Bujumbura.

Amnesty International demeure vivement préoccupée par la sécurité de Tharcisse Havyarimana, qui a « disparu » après avoir été placé en garde à vue aux alentours du 18 novembre 1999.

Déo Nzeyimana a été placé en liberté provisoire le 12 novembre 1999. Toutefois, Amnesty International est sans nouvelles de Nestor Ruberintware et des quelque 30 détenus qui ont été transférés avec lui de Bujumbura dans les locaux de la brigade de police de Kabezi, dans la province de Bujumbura...

Amnesty International est vivement préoccupée par la sécurité de Tharcisse Havarimana, qui a « disparu » après avoir été arrêté.

Juvénal Niyonzima et Michel Manirambona n’ont pas été revus depuis qu’ils ont été arrêtés le 26 septembre 1999, apparemment par des soldats en patrouille. Amnesty International est d’autant plus préoccupée par leur sécurité que selon certaines sources, Léovin Nzeyimana, « disparu » après que des...

Georgette Mpawenimana a été relâchée le 5 octobre 1999, le procureur général de la Cour d’appel de Bujumbura ayant ordonné sa mise en liberté provisoire. Son mari, Déo Nzeyimana, demeure incarcéré. Amnesty International demeure préoccupée par la sécurité de Nestor Ruberintware, qui est détenu dans...

Amnesty International est préoccupée par les informations laissant entendre que Déo Nzeyimana a été torturé et que sa femme, Georgette Mpawenimana, et lui-même sont privés de nourriture.

Des milliers de Burundais réfugiés au Rwanda craignent d’être contraints de retourner dans leur pays depuis que des responsables gouvernementaux ont annoncé qu’ils devraient avoir quitté le Rwanda le 5 février 1997 au plus tard.

À la suite d’une mission récente en Tanzanie, Amnesty International a obtenu des informations complémentaires au sujet du sort des 126 réfugiés burundais qui ont été renvoyés de force dans leur pays le 10 janvier 1997. Cent vingt-deux personnes faisant partie de ce groupe ont été exécutées de façon...

Amnesty International est vivement préoccupée par l’exécution extrajudiciaire de 122 des 126 réfugiés burundais renvoyés de force dans leur pays par les autorités tanzaniennes le 10 janvier 1997, et abattus par des soldats du gouvernement burundais ce même jour. Ces exécutions viennent renforcer...