Les personnes jugées pour avoir organisé les manifestations de grande ampleur qui avaient eu lieu en 2022 ont été condamnées sur la base d’accusations motivées par des considérations politiques dans le cadre de procès iniques. Les autorités ont resserré leur étau sur les voix dissidentes, en particulier sur les réseaux sociaux. La torture et d’autres formes de mauvais traitements restaient monnaie courante dans les lieux de détention, et les responsables présumés de ces actes criminels bénéficiaient généralement de l’impunité. Des modifications apportées au Code pénal et au Code administratif ont érigé en infraction la violence domestique. L’exercice du droit à la liberté de religion faisait toujours l’objet d’un contrôle étroit.
Lire la suiteLa législation ne prévoit pas la peine de mort
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