Les affirmations prématurées du gouvernement selon lesquelles la maladie à coronavirus COVID-19 ne circulait plus, ainsi que le contrôle étroit exercé sur la diffusion des informations, ont eu un effet contre-productif sur les mesures de santé publique prises pendant la pandémie. Les personnes victimes de violence domestique avaient toujours des difficultés à accéder à la justice. La torture et les autres formes de mauvais traitements demeuraient très répandues et n’étaient pas toujours signalées. Les pouvoirs publics ont indûment restreint la liberté d’expression, condamnant des militant·e·s d’opposition et des personnes critiques à l’égard du pouvoir à de lourdes peines d’emprisonnement pour des accusations sous-tendues par des raisons politiques.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi, mais n’a pas exécuté depuis au moins 10 ans
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