Les autorités ont continué d’écraser la dissidence, de disperser des manifestations pacifiques et de restreindre les activités de plusieurs organisations qui faisaient selon elles partie de l’opposition. Elles ont durci la répression exercée contre les militant·e·s sahraouis. Du fait de la criminalisation de l’avortement, une fille, au moins, est morte des suites d’un avortement dangereux après un viol. Des gardes-frontières ont eu recours à une force excessive contre des personnes qui tentaient de franchir la frontière entre le Maroc et l’enclave espagnole de Melilla, causant ainsi la mort d’au moins 37 personnes. Le droit interne demeurait insuffisant pour protéger et promouvoir le droit à un environnement propre et sain.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi, mais n’a pas exécuté depuis au moins 10 ans
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