La liberté de réunion pacifique restait entravée, notamment par la législation d’urgence entrée en vigueur en 2020 et dont la portée était particulièrement vaste. Les autorités jordaniennes ont aussi imposé des restrictions à la liberté d’expression, à la fois en ligne et hors ligne. Les violences fondées sur le genre ont augmenté, sur fond de dégradation de la situation économique et de restrictions liées à la pandémie de COVID-19, mais également en raison des lacunes persistantes en matière de protection juridique contre ces violences. La Jordanie accueillait toujours plus de 2,7 millions de personnes réfugiées, toutes éligibles à la vaccination gratuite contre le COVID-19. L’insécurité alimentaire s’est nettement aggravée pour les personnes réfugiées.
Lire la suiteMaintient la peine de mort dans la loi