L’invasion de grande envergure de l’Ukraine par la Russie, au mois de février, constituait une violation de la Charte des Nations unies et un acte d’agression contraire au droit international. Les forces russes se sont livrées à des attaques menées sans discernement qui ont fait des milliers de victimes civiles. Des éléments de plus en plus accablants attestaient que d’autres crimes avaient été commis (actes de torture, violences sexuelles, homicides illégaux, etc.). Les attaques menées contre des infrastructures civiles se sont également traduites par des atteintes aux droits au logement, à la santé et à l’éducation. Une nouvelle loi sur la presse accordait des pouvoirs excessifs à l’autorité ukrainienne de régulation des médias. Un nouveau texte de loi a été annoncé qui semblerait autoriser les unions civiles entre personnes de même sexe. La guerre a accentué les inégalités existantes entre hommes et femmes. Les violences fondées sur le genre auraient en outre augmenté. En Crimée (région sous occupation russe en 2022), la répression des dissident·e·s et des défenseur·e·s des droits humains s’est poursuivie.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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