Des personnes sont mortes, ont subi des tortures ou ont été expulsées illégalement du fait de la réaction violente des autorités face aux tentatives de franchissement de la frontière séparant Melilla du Maroc. Un logiciel espion a été utilisé contre des responsables politiques et des membres de la société civile catalans. Les violences contre les femmes perduraient. Un projet de loi visant à lever certains obstacles à l’avortement a été examiné par le Parlement. Une proposition de loi contenant des dispositions critiquables qui érigeaient en infraction certains aspects du travail du sexe a été déposée au Parlement. Le gouvernement a adopté un important projet de loi sur l’autodétermination du genre. Les autorités ne protégeaient pas correctement le droit à la santé et le droit au logement. L’utilisation par la police de dispositifs à impulsions électriques était toujours source de préoccupation. Des infractions définies en termes vagues ont été invoquées de façon abusive pour restreindre le droit à liberté d’expression et de réunion pacifique. La lutte contre l’impunité pour les violations des droits humains perpétrées pendant la guerre civile et sous la dictature a progressé avec l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi. Les mesures de lutte contre le changement climatique restaient insuffisantes.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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