Rien ou presque n’a été fait pour traduire en justice les personnes soupçonnées d’être pénalement responsables de crimes de droit international commis par le passé. La police se livrait toujours à des mauvais traitements en toute impunité. Des professionnel·le·s des médias et des membres d’ONG ont été pris pour cibles par les autorités et par la presse progouvernementale. La discrimination à l’égard des femmes, des Roms et des autres minorités ethniques, des personnes LGBTI et des groupes en situation socialement précaire était très fréquente.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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