Les gardes-frontières ont fait usage de la force pour procéder à des renvois forcés illégaux (pushbacks) de personnes réfugiées ou migrantes à la frontière avec le Bélarus. Les femmes et les filles avaient difficilement accès aux services de santé sexuelle et reproductive. La discrimination fondée sur l’orientation sexuelle et l’identité de genre n’était toujours pas interdite par la loi. Le nombre d’apatrides demeurait élevé. Certains enfants subissaient des discriminations dans l’accès à l’éducation.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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