De nouvelles atteintes au droit international humanitaire ont été signalées cette année et aucun progrès notable n’a été enregistré en matière d’enquête sur les crimes de guerre qui auraient été commis pendant le conflit de 2020 dans le Haut-Karabakh. La liberté d’expression, de réunion et d’association restait extrêmement limitée. Les autorités se sont livrées à des arrestations arbitraires de militant·e·s de la société civile, dont certain·e·s ont fait l’objet de poursuites judiciaires fondées sur des motivations politiques. Elles ont en outre réprimé violemment des manifestations pacifiques et entravé les activités d’organisations et d’organes de presse indépendants. Les femmes et les filles étaient toujours victimes de discriminations.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
Responsable médias pour l’Union européenne, les Balkans et la Turquie, +44 (0)20 3036 5599
[email protected]