Personne n’a été amené à rendre des comptes pour les violations des droits humains commises pendant et après le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan en 2020. Les affrontements militaires ont eu des conséquences néfastes sur la jouissance des droits économiques, sociaux et culturels. La plupart des Azerbaïdjanais·e·s déplacés lors de ce conflit ont pu rentrer chez eux, ce qui n’a pas été le cas des Azéri·e·s qui avaient dû quitter le Haut-Karabakh et sa région dans les années 1990. Les opposant·e·s au gouvernement ont encore été persécutés et harcelés. Des manifestations pacifiques ont été dispersées avec violence. Des restrictions arbitraires ont continué d’entraver le travail des ONG et des défenseur·e·s des droits humains. La torture et les autres mauvais traitements ainsi que les violences fondées sur le genre sont restés monnaie courante.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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