Les personnes victimes d’atteintes aux droits fondamentaux commises pendant et après le conflit qui a opposé l’Arménie et l’Azerbaïdjan en 2020 n’avaient toujours pas obtenu justice et les auteur·e·s présumés de ces actes n’avaient pas eu à rendre de comptes. Plus d’une centaine de personnes ont été blessées ou tuées par des mines posées par les forces arméniennes dans des secteurs cédés à l’Azerbaïdjan. Quelque 36 000 membres de la communauté arménienne restaient déplacés à l’intérieur du pays. Les manifestations pacifiques ont été généralement autorisées après la levée des restrictions décrétées dans le cadre de la loi martiale et de la lutte contre la pandémie de COVID-19, mais la liberté d’expression et l’accès à l’information restaient entravés. Les préoccupations environnementales concernant la mine d’or d’Amulsar n’ont pas reçu de réponse. La violence domestique était toujours un problème très répandu, exacerbé par la pandémie de COVID-19.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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