Des employeurs ont réduit au silence des professionnel·le·s du secteur de la santé et de l’aide à la personne ayant exprimé leurs inquiétudes face aux conditions de travail dans les établissements spécialisés alors que sévissait la pandémie de COVID-19. Des personnes âgées vivant en maison de retraite ont été privées de réels contacts avec le monde extérieur. Les violences à l’égard des femmes persistaient et rien n’a été fait pour supprimer les obstacles qui entravaient l’accès à l’avortement. Le Parlement n’a pas étendu la protection contre les crimes de haine aux personnes attaquées en raison de leur genre, de leur identité de genre ou de leur orientation sexuelle. Les migrant·e·s en situation irrégulière étaient toujours exposés à l’exploitation et à des violences. La coopération avec la Libye en matière de migrations s’est poursuivie, en dépit d’atteintes aux droits humains. Les autorités ont continué de considérer comme une infraction la solidarité aux frontières avec les personnes migrantes ou réfugiées. La torture est restée un motif de préoccupation.
Lire la suiteN’utilise pas la peine de mort
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