Une nouvelle Constitution, adoptée par référendum le 25 juillet en Tunisie, entre en vigueur mercredi 17 août. Elle risque de mener à un affaiblissement des garanties relatives aux droits humains et à l’état de droit, a déclaré Amnesty International. L’adoption de la nouvelle Constitution survient après une année marquée par un recul des protections liées aux droits humains en Tunisie.