Si les autorités tunisiennes ont vraiment l’intention de s’attaquer au problème de l’impunité dont jouissent les forces de sécurité, qui sont accusées de graves violations des droits humains, elles doivent veiller à ce que les faits de brutalité policière les plus marquants survenus au cours de l’année écoulée ne restent pas impunis. C’est ce qu’a déclaré aujourd’hui Amnesty International.