Maroc/Sahara occidental. Les réformes globales pour mettre fin aux violences faites aux femmes auraient dû être menées il y a longtemps

Le suicide d’Amina Filali a suscité au Maroc une vive émotion dans l’opinion publique et a poussé les autorités à modifier la loi qui autorise un violeur à échapper aux poursuites s’il épouse la victime. Dans le présent document, Amnesty International exhorte les autorités marocaines à se pencher sur les graves carences du Code pénal et à adopter de nouvelles dispositions pénalisant la violence sexuelle sous toutes ses formes. Dans une société dans laquelle les femmes ne sont pas les égales des hommes, il ne faut pas seulement changer la loi mais aussi les attitudes sociétales ancrées qui conduisent à la discrimination contre les femmes.

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