Amnesty International se réjouit d’avoir la possibilité de remettre ce document au Comité des droits de l’homme des Nations unies (le Comité). Cette communication porte sur les principaux droits civils et politiques en Algérie, en particulier le cadre national de protection des droits humains ; la liberté d’expression ; la liberté de réunion pacifique ; la liberté d’association ; la liberté de religion ou de conviction ; les expulsions sommaires et le droit de circuler librement ; l’équité des procès ; la discrimination liée au genre et les droits des femmes ; la peine de mort, ainsi que l’obligation de rendre des comptes pour les violations passées. Il ne s’agit pas d’une analyse exhaustive du respect par l’Algérie de ses obligations aux termes du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (le PIDCP).