Quatorze personnes sont mortes depuis le mois de juillet dans la Ghouta orientale, le gouvernement syrien ayant bloqué leur évacuation sanitaire, ainsi que celle de 572 autres personnes gravement blessées et malades. D’autres décès sont à prévoir si les autorités n’approuvent pas l’évacuation immédiate de ces personnes vers les hôpitaux de Damas.