S’appuyant sur entretiens, ainsi que sur des images satellites, des observations du trafic aérien et des communications radio interceptées, Amnesty International a pu établir que les forces gouvernementales syriennes et russes avaient mené des attaques illégales contre des hôpitaux et des écoles dans le gouvernorat d’Idlib et dans l’ouest du gouvernorat d’Alep. Les civil·e·s du nord-ouest de la Syrie seront encore plus en danger si le mécanisme crucial d’aide humanitaire transfrontalière mis en place par les Nations unies depuis la Turquie n’est pas renouvelé. Le Conseil de sécurité de l’ONU doit faire en sorte que ce mécanisme soit maintenu.
Index: MDE 24/2089/2020