Trois militants politiques kurdes, maintenus en détention au secret, n’étaient pas présents à la troisième audience de leur procès, le 19 octobre dernier. Ils n’ont pas été emmenés au tribunal qui n’a donné aucune explication, suscitant une inquiétude croissante quant à leur sécurité. Ils risquent toujours d’être victimes d’actes de torture et d’autres mauvais traitements.