Le 9 janvier 2024, le Tribunal pénal spécial, juridiction saoudienne tristement célèbre, a condamné Manahel al Otaibi, professeure de fitness et militante en faveur des droits des femmes âgée de 29 ans, à 11 ans de prison pour des « infractions liées au terrorisme » à l’issue d’un procès tenu en secret.