Au Qatar, le ressortissant jordanien Abdullah Ibhais purge une peine de prison de trois ans à l’issue d’un procès inique, fondé sur ses soi-disant « aveux » qui, selon ses allégations, ont été obtenus sous la contrainte. Le 15 décembre 2021, la cour d’appel a confirmé sa condamnation pour des accusations incluant le détournement de fonds publics et a réduit sa peine de prison de cinq à trois ans. Il fait désormais appel devant la Cour de cassation. Amnesty International demande aux autorités qatariennes d’annuler la sentence d’Abdullah Ibhais et de le libérer immédiatement.