Une année s’est écoulée depuis l’enlèvement d’Ali Jaseb par des hommes armés soupçonnés d’appartenir aux Unités de mobilisation populaire. Bien que le Premier ministre ait promis d’enquêter sur le sort réservé à cet homme, l’affaire est au point mort, situation aggravée par les menaces répétées dont sa famille fait l’objet.