Un projet de loi iranien discriminatoire, qui porte atteinte au droit des femmes de décider librement si et quand elles souhaitent se marier, divorcer et avoir des enfants, et tendrait à entériner l’idée que la violence domestique est une « affaire familiale » privée, vient de franchir une nouvelle étape vers son adoption, après qu’une grande majorité des députés ont approuvé ses principes généraux le 2 novembre.